- - « deux des dirigeants du Front National ainsi
que plusieurs proches de Marine Le Pen ont été renvoyés devant le tribunal
correctionnel pour répondre de leurs rôles dans le cadre du financement des
élections de 2012 » (modifié d’après Le Monde, « Assistants
parlementaires : une information judiciaire vise le FN », 05/01/2017)
- - « on ne
trouve pas trace sur la déclaration de Marine Le Pen de Jeanne, son
micro-parti. Une enquête de "l'Obs" a révélé l'an dernier que Jeanne
fait l'objet d'une enquête judiciaire pour des détournements d'un montant
pouvant atteindre 6 millions d'euros. Depuis, sept personnes ont été mises en
examen. » (d’après
Le Nouvel Obs, « Déclaration de Patrimoine : Marine Le Pen risque dix
ans d’inéligibilité »,
21/12/2015)
- - « (à propos de
Marine le Pen et Jean-Marie Le Pen) Leur patrimoine aurait été sous-estimé de 60% environ. Et
selon l'AFP, la fraude atteint plus d'1 million d'euros pour Jean-Marie Le Pen
et plusieurs centaines de milliers d'euros pour Marine Le Pen. […] L'infraction
est passible de 45.000 euros d'amende, trois ans
de prison et dix ans d'inéligibilité au
titre de la loi pour la transparence de la vie publique. » (d’après
Le Nouvel Obs, « Déclaration de Patrimoine : Marine Le Pen risque dix
ans d’inéligibilité »,
21/12/2015)
- - « Le parquet
de Paris a ouvert une information judiciaire pour « abus de
confiance », « recel d’abus
de confiance », « escroquerie en bande organisée », « faux et usage de faux » et « travail dissimulé ». Elle vise à déterminer si les assistants parlementaires d’eurodéputés
du Front National ont été rémunérés indûment par Bruxelles, alors qu’ils
exerçaient par ailleurs des fonctions au sein du parti. […] Le Parlement réclame des sommes importantes à M. Le Pen
et à sa fille. Le président d’honneur du parti d’extrême droite doit, depuis
juin 2016, rendre 320 000 euros à l’institution pour avoir
salarié un assistant dont il ne peut fournir « la
preuve du travail ». Sommes que Marine Le Pen et son père
refusent de payer. (modifié d’après Le Monde, « Assistants
parlementaires : une information judiciaire vise le FN », 05/01/2017)
Les
Jeunes Socialistes de Seine et Marne s’indignent de cette situation honteuse
pour la France pour laquelle deux de ses candidats aux présidentielles sont
visés par des investigations judiciaires. Nous militons pour une République
modèle dans laquelle aucun élu ou candidat ne devrait être sous couvert d’enquêtes.
Aux prochaines élections, faisons le ménage dans ces politiciens véreux qui
ternissent de plus en plus l’image de nos élus et ce quelque soit la couleur
politique. En 2017 et pour les années à venir, choisissons la transparence, choisissons l’honnêteté.
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